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 WESH ∞ why do I love you so much when you're a love killer ?

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The Cuppycake

W. Ethan S. Harris

W. Ethan S. Harris
Ҩ MESSAGES : 167
Ҩ ARRIVÉ(E) LE : 23/12/2012
Ҩ ÂGE : 20 ans.
Ҩ STATUT : en couple, on va dire.
Ҩ EMPLOI : étudiant.
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loving you hurts me but it feels so good.

i knew you were trouble:

Ҩ PSEUDO : kill.the.bitch
Ҩ AVATAR : liam CUPPYCAKE payne.
Ҩ CRÉDIT : ouvre tes zyeux wsh.
Ҩ DISPO AU RP : quand le forum sera ouvert hihi.
Ҩ DC : yé né soui pas skizo, non.




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MessageSujet: WESH ∞ why do I love you so much when you're a love killer ?   WESH ∞ why do I love you so much when you're a love killer ? EmptyDim 23 Déc - 7:28


wyatt ethan spencer harris

→ me, myself and i
nom : harris. comme calvin harris, le dj t'sais. mais en vérité, je le connais pas du tout haha. ça doit être une petite feinte de mes parents comme ça. puis le premier qui m'appelle harrisson (hérisson tahu), j'lui fais bouffer une spatule. ∞ prénom(s) : wyatt ethan spencer. coucou les parents vieux jeu. wyatt, je trouve ça moche. ça fait genre kilowatt, courant électrique. j'ai jamais aimé le cours de techno. ethan, ça va, ça passe. j'aime bien. c'est comme ça qu'on m'appelle, quoi. spencer, ça fait vieux. puis ça fait penser à la meuf de pretty little liars. bon elle est cool, mais j'aime pas être comparé à une meuf haha. ∞ âge : 20 ans et toutes mes dents. sauf celles de sagesse, je me suis fait opérer héhé. ∞ date de naissance : le premier avril. je vous raconte pas la joie. vous avez une idée du nombre de cadeau m'explosant entre les mains que j'ai reçu ? mes potes ont un sens de l'humour, je vous raconte pas. ∞ lieu de naissance : heaven hill. j'ai toujours vécu ici. d'après vous, pourquoi je suis aussi populaire ? ∞ métier/études : étudiant en arts de la scène sisi la classe tahu. j'apprends à me faire passer pour quelqu'un d'autre. puis il parait que je suis talentueux, et ça m'est trop utile pour cacher mes émotions aux yeux du monde. puis je bosse au movie theater trois soirs par semaine. faut bien que je me fasse un peu d'argent en plus de ce que me donne mes vieux et de la bourse d'étude, héhé. ∞ situation amoureuse : space mountain. genre je suis en couple mais... on va dire que c'est hard. puis ça laisse pas intact. ∞ orientation sexuelle : pansexuelle, baby. ∞ traits de caractère : altruiste + impulsif + drôle + fier + intelligent + artiste + obstiné + trochoupidelavie. ∞ avatar : LE CUPPYCAKE DE L'AMOUR. ∞ groupe : blue jeans, white shirt, walk into the room you know you make my eyes buuuuurn. je chante trop ienb tahu. ∞ crédits : tumblr.


→ tell me something i don't know
il aime manger. tout et n'importe quoi. mais plutôt sucré. genre parfois il va au supermarché, regarde autour de lui, achète des trucs qu'il connait pas juste pour gouter et s'offrir de nouvelles expériences. il croit dur comme fer en l'existence des licornes. un jour, il a failli s'étouffer avec un coco pops. depuis il a la phobie des bols et des assiettes creuses. ce mec, c'est l'amour incarné sur terre. un jour, il a envoyé un sms à un de ces numéros attrape-pigeon pour installer une sonnerie sur le téléphone de sa mère parce que c'était la chanson préférée de celle-ci. bon, ça partait d'une bonne intention, non ? il aime les scoubidous. vous savez, ces fils de couleur en plastique qu'on s'amusait à tresser quand on était gamin parce que de toute façon, on avait rien d'autre à faire ? ben il en a une caisse pleine dans sa chambre. il voue une vénération à la culture française. son plus grand rêve est de partir visiter Paris (en amoureux, of course). plus tard il ne veut pas d'enfants, mais il veut un koala et deux chinchillas. il aime les pulls en laine mais seulement avec un maillot de corps en-dessous. sinon ça pique. il a une situation financière aisée mais il ne sait pas garder de l'argent plus de 24h dans son porte-feuille. il trouve toujours un truc à s'acheter. soit des vêtements, soit un truc débile et inutile. (genre un ouvre-boîte automatique à recharger manuellement, des jumelles qui ne fonctionnent que si on observe quelque chose qui est près de nous, ou alors un porte-gamelle trop design. sauf qu'il n'a ni chien ni chat.) quand il ment, il cligne de l'oeil droit. mais seulement du droit hein. le gauche lui ne subit rien. pourquoi ? josépa. c'est un artiste incompris. à l'âge de 6 ans, il avait écrit une compte sur le désodorisant des wcs. à ses 8 ans, il rendait hommage en chanson aux sacs poubelles. à ses 12 ans, il écrivait une scènette en l'honneur des épluches patates. mais étrangement, cela ne connut pas beaucoup de succès. malgré sa personnalité de teub (appelons un chat, un chat), il n'en est pas moins cool et adulé par la populace. et ça, c'est bien. il veille souvent tard la nuit, une tasse de café (genre latte macchiato) à la main. sauf en hiver, là c'est du nesquick. quand quelqu'un ne va pas bien, il lui ouvre ses bras en miaulant "câliiiiiiin" et passe le reste de la journée à l'écouter et à le consoler. quand il s'ennuie, il sort son t-shirt "free hugs", va sur leftown street et fait des câlins à tout ce qui bouge. il est maladroit, genre un jour il a renversé sa glace et juste après, il a glissé dessus. du coup il s'est rattrapé à la première chose qu'il trouvait : la main de Maël. ils se sont écrasés comme des gueux, ont atterri sur un vélo qui est tombée sur le vélo d'à côté qui est tombé sur le vélo d'à côté qui est tombé sur le vélo d'à côté et ainsi de suite. dans son portable, il a une centaine de photos de Maël. parce que c'est Maël kwa. c'est peut-être un cuppycake de la vie, mais il n'en est pas pour autant niais et soumis. il a une certaine fierté et il ne supporte pas de voir sa dignité bafouée. il sait où se trouvent ses limites et ses plates-bandes, je vous déconseille d'essayer de marcher dessus. son père est décédé quand il avait huit ans. il a été élevé par sa mère uniquement tout le reste de sa vie et un lien très fort les unit tous deux.


→ who's behind the screen ?
pseudo/prénom : kill.the.bitch mais je m'appelle Nicolas. je suis connu aussi sous les noms de Nick, Nicoco, Nicolaid, Nicobite, face de bite, espèce de gueux et d'autres sympathiques petites appellations du genre. ∞ âge : 16 ans, l'âge de la débauche t'sais bien. WESH ∞ why do I love you so much when you're a love killer ? 1003453391 ∞ pays/région : DES FRITES, DES FRITES. DES FRITES DES FRITES DES FRITES. ∞ comment as-tu connu le forum ? ce matin en tirant sur le rideau de douche, je l'ai trouvé dans la baignoire. What a Face ∞ tes impressions sur le forum : il est peeeeeerfait. (comme liza monet t'sais.) ∞ scénario ou inventé ? vous pensez vraiment que quelqu'un d'autre aurait pu m'inventer ? WESH ∞ why do I love you so much when you're a love killer ? 3845856932 ∞ présence : même dans mes rêves, je serai ici. ∞ code du règlement : josuis un dieu. WESH ∞ why do I love you so much when you're a love killer ? 2662895640 ∞ une dernière chose à ajouter ? sucez ma bite, ça fait maigrir askiparaii. WESH ∞ why do I love you so much when you're a love killer ? 2496382268



Dernière édition par W. Ethan S. Harris le Dim 30 Déc - 10:40, édité 16 fois
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The Cuppycake

W. Ethan S. Harris

W. Ethan S. Harris
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Ҩ STATUT : en couple, on va dire.
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MessageSujet: Re: WESH ∞ why do I love you so much when you're a love killer ?   WESH ∞ why do I love you so much when you're a love killer ? EmptyLun 24 Déc - 17:38


histoire

Les gens s’agitaient partout autour de moi. Et je ne comprenais pas ce qu’il se passait. Je tirai sur un pli de la jupe de ma mère. « Maman… qu’est-ce qu’il se passe ? » Elle ne me répondit pas. Ca courait dans tous les sens. Des ambulances arrivaient en trombe et repartaient à la vitesse de la lumière, des camions pompiers rejoignaient les autres déjà présents pendant que les hommes du feu s’affairaient à sortir un maximum de personnes qui se trouvaient encore dans le bâtiment en flammes. Je ne savais même pas ce qu’on faisait là. Ma mère s’était contenté d’un simple : « Enfile ta veste Ethan, il s’est passé quelque chose de grave. Il faut qu’on y aille. » Je l’avais suivie, sans vraiment réaliser vers quel drame je me dirigeais. Arrivés sur place, mes interrogations n’étaient toujours pas envolées. Cette agitation ne m’était pas habituelle. Je n’en saisissais pas les rouages. Je lisais juste la panique sur tous les visages. Et sur celui de ma mère… la panique avait laissé place au désespoir. Le véritable désespoir. Celui qui vous prend au ventre, qui vous attrape les tripes et s’amuse à jouer avec comme si ce n’était qu’une vulgaire poupée de chiffon.

Je fulminais. On aurait pu faire cuire un œuf au plat sur mon front tellement la rage qui bouillait en moi était intense. Je voyais cette espèce de blondasse presser ses seins avec ses bras, cherchant clairement à les mettre en avant. Tss, c’est clair qu’avec son 80A, elle n’avait pas vraiment d’autre choix. Il fallait presque une loupe pour les trouver. (Bon j’exagère. Mais à peine.) Elle commença à se frotter à lui, et évidemment il se laissait faire. Ca avait toujours été comme ça de toute façon, mais je ne pouvais pas l’en blâmer. J’étais pas mieux. J’ai jamais compris pourquoi, mais cela me bouffait. Quand je voyais une de ces poufs s’agiter autour de lui, j’avais juste envie de la choper et de l’encastrer dans le mur. Et cette bouffonne ne faisait pas exception à la règle. Si mes yeux avaient pu tirer des balles, son cadavre girait déjà au sol. Et je me ferais une joie de le foutre 6 pieds sur terre. J’attrapai le verre que le barman venait de me servir et vidai la vodka d’une traite dans ma gorge. Je clignai des yeux et me tint le front. Je sentais le monde tourner autour de moi, et j’avoue m’être demandé quelle idée avait eu l’architecte de construire une boîte avec des murs mouvants. Je lançai un regard assassin à cette pouf en mini jupes et talons hauts pour l’aguicher ainsi, un autre à Maël pour la laisser faire et retournai sur la piste, bien décidé à leur montrer à tout deux que ce petit manège ne m’affectait aucunement.

« Pourquoi on est là, maman ? » Tout ce que j’eus pour réponse fut l’alarme lancinante des véhicules autour de moi et les cris de la foule. Encore et toujours. Ma mère était bouleversée, perturbée même. Et moi j’étais là, à côté d’elle, me doutant qu’il se tramait quelque chose. Quelque chose qui lui ferait du mal. Peut-être à moi aussi. Mais j’étais bien loin d’imaginer ce qu’il en était. Un homme en blouse s’approcha de ma mère et lui demanda de le suivre. Ils devaient parler. Elle m’adressa enfin la parole. « Ne bouge pas. Je reviens vite mon cœur. » La terreur dans ses yeux m’effraya. Je les suivis du regard et lorsque je la vis exploser en larmes, je désobéis immédiatement. Je fonçai droit vers elle et l’attrapai entre mes petits bras. Elle n’avait pas eu besoin de mots, tout s’éclaira instantanément. Il n’y avait que deux choses qui pouvait pousser ma mère à faire une crise de larmes : moi, et mon père. Je n’avais que huit ans. Et mon père avait péri dans un incendie. Sur son propre lieu de travail.

Alors que j’ondulais au rythme des basses agressives, je les vis venir se glisser quelques mètres devant mes yeux. Je crus que j’allais exploser. J’étais bien décidé à ne pas me laisser faire. Je tournai la tête et remarquai une petite brunette qui se trémoussait, seule, derrière moi. Je ne me fis pas prier pour me joindre à cette chorégraphie des plus primaires. Elle roulait son bassin contre moi alors que mes mains serraient sa taille, se laissant guider par ces mouvements hypnotiques. Lentement je la dirigeai de telle sorte qu’on se retourna, afin de me retrouver de nouveau face à Maël et sa grognasse. Hiroshima n’était qu’une simple casserole en ébullition à côté de ce qui se produisit en moi à ce moment précis. Cette inconnue de basse catégorie avait passé ses bras autour du cou du beau brun et lui ramonait littéralement la gorge. Et cela n’avait pas l’air de le déranger plus que cela. Il était probablement trop loin pour même en avoir ne serait-ce que conscience. Je lâchai instantanément le jouet qui continuait de s’agiter entre mes mains et me dirigeai vers la sortie, en prenant bien soin de bousculer Maël, ce qui fit s’étaler la pute en cellophane. Je dus réprimer un sourire, je l’admets.

J’étais détruit. Je me sentais complètement vidé de l’intérieur. Je n’avais plus d’organes, plus d’entrailles. On m’avait tout arraché en même temps qu’on m’avait arraché mon père. Il était tout pour moi. Mon modèle, mon ami, mon frère. Notre relation était des plus idéales. C’était le père dont tous les enfants rêvaient. Et ma mère était la plus enviée des femmes. Ils avaient une vie de couple épanouie. Je le savais, cela se voyait. Non, cela se ressentait. Partout où ils passaient, c’était comme si l’Amour restait dans leur sillage. Ils ne se quittaient que la journée, quand ils devaient aller au travail. Ce jour-là, ma mère avait pris congé pour me garder, parce que j’étais malade, je m’en souviens. Et mon père lui, était sur son lieu de mort. Le feu avait pris au rez-de-chaussée. Le temps que les secours soient alertés et qu’ils arrivent sur place, il avait déjà gagné le deuxième étage. Mon père travaillait au premier. Je m’en souviens, j’étais une fois allé avec lui à son travail, un jour où je n’avais pas cours. J’étais tout content d’enfin découvrir le lieu où il passait la majeure partie de ses journées. C’était une banque haute de huit étages. Les personnes travaillant du troisième au dernier étage furent toutes sauvées. Les trois quarts de celles se trouvant au second, également. Mais pour les autres… il était trop tard. Les services de police qui étaient venus rendre visite à ma mère avaient employé des termes d'adultes comme "incendie criminel", "dettes non remboursées", "poursuites judiciaires entamées". J'étais trop jeune pour en saisir la pleine signification.

Il ne fut pas long à arriver. J’étais dehors, je claquais des dents et j’attendais qu’un taxi daigne se montrer. Runaway Boulevard était vraiment un quartier merdique après vingt-deux heures. Tant que je restais devant l’entrée, je ne risquais rien, les videurs étaient là pour s’assurer que tout se passe bien. Mais un pas de trop pouvait s’avérer fatal. « Il se passe quoi ? » Et c’est parti. « Rien, laisse moi. » « C’est bon, Ethan, fais pas chier. Dis moi ce qui se passe. » « Mais casse toi, je te dis qu’y a rien ! » « … » « … » « Tu fais chier. » « Et toi, tu crois que tu fais pas chier là à être défoncé et à te faire lustrer les amygdales par une meuf avec des seins aussi vrais que ses extensions ?! » « Alors déjà je suis pas déf, comme tu pourras le remarquer je suis tout à fait lucide. » « Pour une fois, ouais. » « Ta gueule, je parle. » « Bouffon. » « Quoi ? » « Fais pas genre, t’as très bien entendu ! Tu crois que c’est drôle pour moi ? Je suis le seul, d’accord ? Je suis le seul ! Elvis arrête pas de me dire d’arrêter, que t’as trop changé, que t’es plus comme avant. Que t’es plus une bonne fréquentation. Et moi, je continue ! Il arrête pas de me faire chier avec ça, il m’engueule presque, mais je m’en branle ! Je réponds quand tu m’appelles, je t’envoie des textos, je passe du temps avec toi ! Pendant que toi tu t’envoies cette pétasse en silicone ! » Je m’étais rapproché tout en hurlant avec toute la force qu’il me restait en cette fin de soirée. « Mais putain Ethan, tu me chies quoi là ?! Je t’ai jamais demandé de ta charité, t’as qu’à dégager si ça te soûle d’être ami avec un déchet de la société comme moi ! » Il m’avait répondu sur le même ton tout en s’avançant. Il ne se laissait pas faire. Jamais. Il montrait bien qu’il n’était pas près à ramener la queue entre les jambes. « Parfois, je pense que c'est ce que je devrais faire ! » « Ben vazi, barre toi, personne te retient. » Son visage ne se trouvait plus maintant qu’à quelques centimètres du mien. « … » « Alors, t’attends quoi ? » Je sentais le défi dans ce murmure. Je ne sus jamais ce qu’il nous prit, si c’était à cause de la provocation qu’on se lançait mutuellement, si c’était l’alcool qui se baladait dans nos veines, ou même l’air glacial qui nous était monté au cerveau. Toujours est-il que nos lèvres allèrent se rencontrer, comme d’un commun accord. Sans aucune concertation. Elles s’étaient trouvées d’elle-même, sans demander leur chemin à personne, aussi bien que nous l'avions fait.

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